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Programme

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LUNDI 6 NOVEMBRE 2023

17H45 - 18H15 : Ouvertures (Auditorium)

Stéphanie VERMEERSCH, directrice-adjointe scientifique, INSHS, CNRS

Amina SELLALI, cheffe du bureau des enseignements et de la recherche, SDESRA

Rachel THOMAS, directrice d’unité, AAU, UMR CNRS 1563

 

18H15 - 19H00 : Conférence inaugurale : De la sensibilité atmosphérique (Auditorium)

Jean-Paul THIBAUD, directeur de recherche honoraire, AAU_Cresson

Il est une sensibilité que l’on pourrait qualifier d’atmosphérique. Irréductible à une sensibilité artistique, paysagère ou environnementale, elle procède d’une attention diffuse ouverte aux variations tonales du monde ambiant et aux prégnances atmosphériques des milieux de vie. Elle relève moins d’une perception d’objet que d’un affect de situation. N’assistons-nous pas actuellement à un tournant de la sensibilité dans lequel le monde contemporain opère un nouveau partage du sensible et occasionne de nouveaux modes de sentir ? La sensibilité atmosphérique procède fondamentalement d’une sensibilité écologique qui met à l’épreuve la consistance, la résonance et la persistance des ambiances ordinaires. Elle ressortit à une manière de se rendre sensible aux mutations socio-écologiques actuelles. Il en va de la précarité et de la fragilité des attaches sensibles aux espaces du quotidien. De ce point de vue la sensibilité ne se réduit pas à une réception passive mais relève bien plutôt d’une puissance d’intensification et de transformation de notre relation au monde.

 

19H15 – 21H15

Cocktail dînatoire

MARDI 7 NOVEMBRE

9H30 – 10H00

Accueil café et inscriptions

 

10H00 - 10H15 : Mot d’accueil et déroulement des journées (Auditorium)

 

10H15 - 11H00 : En deçà et par-delà la maîtrise du projet (Auditorium)

André LORTIE, professeur, ENSA Paris Belleville, AUSser_IPRAUS, Tae Hoon Yoon architecte urbaniste, agence Sathy.

Animation : Nicolas TIXIER, professeur, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson

 

11H00 – 11H30

Pause-café

 

11H30 - 12H15 : Formes d’expression des mondes en transformation (Auditorium)

Camille de TOLEDO, écrivain, chercheur associé, IEA Nantes & Axelle GRÉGOIRE, architecte, Atelier S-O-C

Animation : Laurent DEVISME, professeur, ENSA Nantes, AAU_Crenau

 

12H15 – 14H00

Pause déjeuner libre

 

14H00 - 17H00 : Sessions parallèles

 

Session. Quelle place pour les démarches artistiques dans les enquêtes et les projets architecturaux ou urbains et les enquêtes sur la transformation de l’espace ? (Salle 4.23)

Animation : Laure BRAYER, maîtresse de conférences, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson & Sévil SETEN, doctorante, AAU_Crenau

Depuis la publication de L’art comme expérience (John Dewey, 1934), la philosophie pragmatiste propose de dépasser les scissions entre art et science en considérant les pratiques artistiques comme des démarches de création de connaissances. En interrogeant les places et rôles des artistes et de la matière dans des contextes de transformation de l’espace, et en questionnant la portée des enquêtes communes relevant de démarches de recherche-création, cette session propose non pas d’approcher ce qui oppose pratiques artistiques, architecturales et scientifiques, mais ce qu’elles ont en partage au sein des expériences propres et conjointes qu’elles engendrent. Le fil conducteur entre ces différentes pratiques est la manière dont elles mettent au travail le sensible. À partir de la présentation de plusieurs cas d’études contemporains, nous verrons comment ces pratiques mettent en œuvre différentes combinaisons de méthode à même de saisir la part sensible, affective, matérielle et politique des expériences spatiales et d’en inventer d’autres modalités. Dans ces contextes spécifiques, le sensible s’articule tant entre un artiste et sa matière, qu’entre un militant des droits à la ville et des quartiers en voie de gentrification, qu’enfin, de façon ordinaire, entre l’individu et l’espace urbain qu’il habite.

 

Les artistes au cœur du chantier, des professionnel.les du sensible ?

Clara RUESTCHMANN, doctorante CIFRE, Laboratoire d’anthropologie politique, EHESS

(Ress)entir la ville en transformation : retour sur une expérimentation de recherche-création à Lagos (Nigéria)

Pauline GUINARD, maîtresse de conférences, École Normale Supérieure, UMR LAVUE

Témoignage du faire. Quand la matière génère pensée

Nuria ALVAREZ, doctorante, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson, Cie Colectivo Terron & Marie-Caroline CONIN, Cies Point d’écoute et Colectivo Terron

Ambiance d’une démolition annoncée. Affleurement du sensible dans la lutte contre la rénovation urbaine aux États-Unis

Sandra PARVU, maîtresse de conférences, ENSA Paris Val-de-Seine, Laboratoire CRH, UMR LAVUE & Alice SOTGIA, maîtresse de conférences, ENSA Paris Malaquais, Laboratoire ACS, UMR AUSser, chercheure associée AAU_Crenau

 

Session. Sensible, émotions, affects – entre fabrique urbaine et ordinaire de l’habiter (Salle 4.24)

Animation : Nathalie AUDAS, maîtresse de conférences, UGA, AAU_Cresson & Anthony PECQUEUX, chargé de recherche CNRS, Centre Max Weber

Cette session rassemble quatre communications qui portent sur la dimension sensible de la vie urbaine et s’y intéressent en orientant leur enquête à ce sujet tant du côté de la fabrique urbaine que des modes ordinaires d’habiter.

Que l’enquête prenne place dans des villes de l’ouest de la France ou une île nipponne, à Mumbai ou encore à La Havane, qu’elle se réalise par l’observation ethnographique, des entretiens et récits, ou par des enregistrements audio- visuels, il s’agit d’interroger des espaces où la fabrique urbaine et les usages habitants peuvent s’appuyer sur des ressources similaires (sensible / affects / émotions / esthétique…), mais emprunter des voies distinctes, voire divergentes. Mais c’est aussi le nécessaire tissage entre fabrique urbaine et ordinaire de l’habiter qui donne une épaisseur temporelle et sensible à ces expériences. Seront alors questionnés tant les apports (e.g. : modes de captation et d’expression) de ces travaux à la compréhension des transformations socio-écologiques des territoires, que les évolutions supposées de la fabrique territoriale à travers le processus de projet (recherche-création, recherche-action, architecture climatique…).

 

Les affects en jeu dans la production des espaces : entre instrumentalisation et reconnaissance des manières d’être sensible

Benoît FEILDEL, maître de conférences, Université Rennes 2, UMR ESO

Habiter sous condition smart (Miyakojima, Japon)

Fabienne MARTIN, chargée de recherche CNRS, Centre d’Anthropologie Sociale, UMR LISST

Habiter la ville socialiste. Une ethnographie ordinaire du logement à la Havane

Laurine CHAPON, doctorante, CREDA, Université Paris 3

Les effets sensibles du nationalisme hindou à Mumbai

Ada KERSERHO, doctorante, CESSMA, Université de Paris Cité

 

Session. Rapports sensibles aux vivants et aux milieux de vie (Auditorium)

Animation : Sébastien DE PERTAT, doctorant, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson & Théa MANOLA, maîtresse de conférences, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson

Face aux bouleversements socio-écologiques contemporains, la fabrique de la ville et des territoires cherche à renouveler ses modes d’action, longtemps structurés par un imaginaire de maîtrise des milieux. Dans cette perspective, ce sont l’ensemble des relations avec les éléments, les vivants et les milieux de vie qui sont requestionnées. Composantes essentielles de la « mise en ambiance » des espaces urbains et des territoires habités, l’intérêt renouvelé qui leur est porté aujourd’hui témoigne d’une évolution des sensibilités et des manières de penser et d’agir. Dans le cadre de cette session, il s’agira de discuter de la manière dont les évolutions, plus ou moins brutales, de nos milieux de vie se vivent et comment les acteurs concernés réagissent face à celles-ci en modifiant plus ou moins fortement leur manière de penser et d’agir sur et avec les milieux. Il s’agira également de discuter à la fois des impacts de la présence des animaux dans nos milieux de vie quotidiens mais aussi de la manière dont d’autres vivants façonnent et nous permettent de se représenter ces milieux.

 

Le satoyama en mutation. Enquête auprès des habitants des bassins versants de Kuro et Akatani dans un contexte de reconstruction post-catastrophe (Japon)

Mélody DUMONT, doctorante, UMR PRODIG, Université Paris Cité, associée au Lab. of environmental sedimentology and sediment hazards, Kobe University

TERMER. Écume, perspectives, et basculements

Yves HÉNOCQUE, Association Littocéan & Charlotte MICHEL, ingénieure-conseil

Animaux au travail, ambiances urbaines et expériences sensibles : faire une place à l’animalité dans la fabrique de la ville

Clara LYONNAIS-VOUTAZ, doctorante, UMR EVS, Université Jean Moulin 3

Le tissage comme technique de représentation des mondes en train de se faire

Louise DANHAIVE, doctorante, Faculté d’architecture de Mons

 

17H00 – 17H30

Pause-café

 

17H30 - 18H15 : Performance musicale et multimédia / Ears Wide Shut : nuova cartografia dell'invisibile (Auditorium)

Giuseppe GAVAZZA & Simone SIMS LONGO (Conservatorio G.F. Ghedini, Cuneo, Italie)

Tout comme la carte n’est pas le territoire (Bateson, 1989), la partition n’est pas la réalité de l’écoute musicale : mais où est l’écriture musicale dans la musique numérique, où le compositeur - qui est presque toujours aussi interprète de sa propre musique - utilise souvent le même « outil » pour composer et interpréter ? L’outil qui répond au nom de « ordinateur » peut-il être considéré, en fait, comme un instrument de musique ?

Si une partition pour instruments acoustiques peut être conçue (en renversant les termes) comme une cartographie d’une expérience d’écoute qui ne vit que dans la réalité sensible du concert, l’ensemble des instructions d’une composition électronique peut-il être compris comme une unique « carte-territoire » ?

En prenant en compte ces considérations et en suivant les thèmes de la mutation, de la métamorphose, du développement et de la variation (processus qui sont au cœur de la forme et de l’histoire musicale) nous avons conçu cette performance composée d’enregistrements d’événements acoustiques, naturels et anthropiques, de synthèses numériques et d’interactions vidéo. Elle sera divisée en trois sections :

- dans la première, j’interpréterai en direct des fragments de mes pièces (acoustiques, électroniques, soundscape compositions) depuis la fin des années 1990 (date de naissance de mon ancien élève Simone) jusqu’à aujourd’hui ;

- dans la seconde, SIMS présentera ses dernières œuvres musicales et multimédias ;

- dans la troisième, nous nous engagerons dans une invention à deux voix qui mettra en contrepoint mondes sonores et poétiques différents, pour tracer un chemin qui n’est pas encore explicite pour nous, mais qui vivra, dans la réalité sensible du concert, dans une interaction spontanée et improvisée.

 

MERCREDI 8 NOVEMBRE

9H – 9H30

Accueil café

 

9H30 – 12H30 : Sessions parallèles

 

Session. Enquêter sur le diffus, l’inframince et le tacite des ambiances ordinaires (Salle 4.23)

Animation : Céline BONICCO-DONATO, professeure, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson & Olivier GAUDIN, maître de conférences, École de la nature et du paysage de Blois (Insa Centre Val-de-Loire), UMR CITERES

Les ambiances se définissent comme le nœud premier entre une spatialité et une tonalité affective : elles relèvent de phénomènes diffus, rétifs à la thématisation, qui échappent en partie à la conscience ordinaire. Arrière-plan tacite de nos expériences et de nos activités, elles procèdent des petites perceptions émanant d’une situation donnée. Celles-ci sont éprouvées à même le corps, sans que le sujet n’ait besoin d’analyser ce qu’il a senti ni la manière dont il le ressent. Comment enquêter sur cette dimension, si difficile à saisir, à lire et à décrire, de notre présence à des situations toujours singulières ? Les quatre communications de cette session adoptent des perspectives et des méthodes différentes, explorant des terrains d’étude et des contextes variés. Elles se demandent à quelles conditions épistémologiques, esthétiques et techniques il est possible de rendre compte non seulement des dimensions sensibles et corporelles de certains lieux et situations, mais aussi de la manière dont les usagers les éprouvent.

 

De quelle manière la menace terroriste et les réponses antiterroristes transforment-elles les ambiances ordinaires dans les villes françaises

Damien MASSON, maître de conférences, CY Cergy Paris Université, Laboratoire PLACES & Angeliki DRONGITI, post-doctorante, CY Cergy Paris Université, Laboratoire PLACES

Fragments des mutations d’un paysage urbain. Arpenter et relever des friches dans la banlieue parisienne

Cécile MATTOUG, docteure en géographie, chercheuse associée au LAREP, ENSP Versailles et à l'UMR Ressources, ENSA Clermont-Ferrand

Immersion filmique auprès d’enfants d’âge préscolaire à Grenoble (France) et à Sfax (Tunisie)

Noa SCHUMACHER, doctorante, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson.

Le visible du sensible : images techniques et territoires

Andrea URLBERGER, professeure, HDR, ENSA de Toulouse, Laboratoire LRA

 

Session. Du sens commun aux sensibilités communes (Salle 4.24)

Animation : Lucile Garnier, doctorante, ENSA Nantes, AAU_Crenau & Elise Roy, maîtresse de conférences, ENSA Nantes, AAU_Crenau

Les travaux réunis dans cette session interrogent les formes collectives de l’expérience sensible des espaces habités qui, si elles sont éprouvées par les corps à l’échelle de l’individu, sont aussi héritées de formes de coprésence, d’opérations de mise en partage, de normes ou de processus de valuation. Ces processus sociaux et situés peuvent être saisis à la lumière des transformations de nos rapports au vivant, aux territoires ou au politique. A distance des enjeux relevant de la fabrique urbaine opérationnelle, les quatre communications offriront l’occasion de penser les sensibilités aux espaces habités à partir des expériences faites de l’espace et des prolongements collectifs qu’elles permettent. Comment l’approche des sensibilités peut-elle rendre visible et lisible les transformations affectant les espaces et susciter un intérêt commun ? Comment des expériences sensibles partagées peuvent-elles sous-tendre une action dans et sur l’espace ? Leurs expressions dans des formes collectives permettent-elles de façonner d’autres relations aux lieux ? Ces questions amènent à interroger les enjeux méthodologiques rattachés au recueil de ces rapports sensibles à l’espace que peuvent révéler des pratiques d’enquêtes ethnographiques, ou d’autres formes de médiation et de traduction des perceptions sensibles.

 

Airial landais et « géographie du flou » : l’émotion comme relation au et connaissance du vivant

Émilie ROPERT DUPONT, doctorante CIFRE, Laboratoire RURALITES, Université de Poitiers, Groupement forestier de la compagnie des Landes

Enquête sur la construction de l’expérience urbaine. L’hypothèse des réseaux d’urbanité

Olivier OCQUIDANT, chercheur associé, Centre Max Weber

Cartographier le(s) sensible(s)

Virginie PIGEON, enseignante-chercheuse (docteure), Faculté d’architecture, Université de Liège, Laboratoire URA

Entrer dans la jachère à la Goutte d’Or

Paul BAI, doctorant, ENSA Grenoble / UGA, AAU_Cresson & Nicole PECCOUD, doctorante, Haute École de Travail Social, Université de Genève

 

Session. Être saisi par les interdépendances : de nouvelles orientations pour exprimer et cartographier le territoire (Auditorium)

Animation : Thomas LEDUC, ingénieur de recherche CNRS, AAU_Crenau & Marc HIGGIN, chercheur associé, AAU_Cresson

Dans cette session, quatre propositions présenteront une diversité de points de vue, partageant tous le même constat de la transformation des espaces de vie sous une pression environnementale souvent silencieuse et euphémisée. Chacune d’entre elles, à sa manière, se situe dans un environnement défini par la fluidité et le flux. Chacun d’entre eux reflète un tissage entre l’humain et le non-humain, le vivant et le non-vivant. Ils partagent tous un sentiment de menace diffuse ou d’étrangeté et, à la manière de Baptiste Morizot, nous invitent à être saisis ensemble sous l’angle de l’interdépendance. L’air et le sol deviennent des déictiques politiques, pointant du doigt le détournement du tissu de la vie. Toutes les communications de la session soulèvent la question de savoir comment cartographier de manière adéquate (à la fois en termes de description et d’analyse) l’imbrication et l’interdépendance qui composent les territoires qu’ils étudient. Ces formes de cartographie ne prétendent pas à l’objectivité dans le style de la cartographie ou de l’ethnographie "traditionnelle", mais tentent de saisir et d’exprimer les qualités mêmes de ces relations.

 

L’écriture architecturale des stations intégrées des 30 Glorieuses face au changement climatique : la station de ski des Orres

Harold KLINGER, architecte DPLG, maître de conférences, ENSA Marseille, Laboratoire INAMA

Histoire (sensible) d’un ruisseau : un désastre environnemental à Serravalle Scrivia

Nathan BRENU, maître de conférences associé ENSA Nantes, chercheur associé AAU_Crenau, chercheur invité au Dipartimento di Architettura e Studi Urbani di Milano

L’hospitalité des espaces publics au prisme de la respiration : enquête sensible et expérimentation cartographique

Anne BOSSÉ, maîtresse de conférences, ENSA Nantes, AAU_Crenau & Théo FORT JACQUES, maître de conférences ENSA Lyon, UMR EVS équipe Laure & Magdalena ROMAY, architecte

Les habitant-es de l’air. Une ethnographie des expériences sensibles et incarnées à Liège (Belgique) et à Marseille (France)

Flo BOUX, doctorante, Université de Liège, UR Traverses ;  Laboratoire d'Anthropologie Politique (LAP)

 

12H30 – 14H00

Pause déjeuner libre

 

14H00 15H00 : Écologie et approches sensibles (Auditorium)

Pascal FERREN, Le Lichen, Agence Camille Alfada & Jonathan LARCHER, cinéaste, anthropologue, Unité de recherche HAR

Animation : Perrine POUPIN, chargée de recherche CNRS, AAU_Cresson

 

15H-15H15

Courte pause

 

15H15 16H15 : Synthèses (Auditorium)

 

Catherine GROUT, professeure, ENSAP Lille, Laboratoire LACTH

Emmanuel DOUTRIAUX, maître de conférences, ENSA Paris-Val de Seine, unité de recherche EVCAU

Virginie MILLIOT, maîtresse de conférences, Université de Paris Nanterre, LESC

 

16H15 16H45 : Clôture (Auditorium)

Éric LENGEREAU, directeur, École Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes

XXX, représentant.e, École Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble

Rachel THOMAS, Myriam SERVIERES, Nicolas TIXIER, directrice et directeur.e.s adjoint.e.s AAU, UMR CNRS 1563.

 

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